On a déplumé l’Oiseau Bleu – Épisode #14

L’Oiseau Bleu pleure à chaudes larmes pour la première fois depuis bien longtemps. Ce nouvel épisode, le 14ème, sera donc triste. Aubam ne nous aura définitivement pas porté chance. 

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Honnêtement, on se croyait presque invincibles. Une série de 22 matches sans défaite. On avait été réconfortés par Chelsea – oui, oui – qui avait douché les espoirs d’invincibilité de Guardiola et les siens. Je ne pensais pas remercier un italien dans ma vie. C’est maintenant chose faite. Et c’était assez dur comme ça pour qu’on passe à autre chose.

En parlant de moment difficile, ce weekend n’a pas été de tout repos. On ne peut pas dire que le lundi au boulot fut un moment ensoleillé. N’en déplaise à Claude.

Alors, ce n’est pas facile, mais oui on assume tous les paris foirés à cause d’une défaite face à un 19ème de Premier League sur un terrain où il n’avait pas encore gagné cette saison.

Y’en a que ça pousse à nouveau à des raisonnements simplistes.

Pas nous. Non vraiment. On ne cherche pas du tout à savoir dans quelle direction se trouve Libreville.

Bon d’accord. Mais PEA n’a fait qu’apporter de l’eau à notre moulin face aux Saints. Il est là le soucis.

Et tout ça ne nous permet pas de renoncer à cette fameuse question qui pourrait faire chavirer Alain Chabat: Aubam ou Laca ou les deux ?

Allez on se projette tout en douceur, à notre manière, dans notre affrontement face à Tottenham demain en Carabao Cup. Ouais à notre façon. Sans trop se prendre au sérieux. Sans trop les prendre au sérieux. Comment voulez-vous les prendre au sérieux ?

On m’annonce dans l’oreillette que tout le budget joint et rustine est parti dans les verres.

C’est vrai qu’il vaut mieux réussir à servir de la bière par le dessous du verre sans que ça ne coule plutôt que de faire en sorte que le toit ne fuit pas. Chacun ses priorités.

En attendant les fans de Tottenham n’ont toujours pas de stade à eux. Ils pourront toujours se consoler d’une façon ou d’une autre… Ou pas.

Parce que c’est trop facile de toujours taper sur les mêmes, on continue. Mais cette fois-ci, on tape à nouveau sur l’un de nos personnages préférés. Ca y est, José, le bon vieux José n’est plus entraineur de United.

C’est beau de détenir des records comme ça…

En même temps, il y a quelques jours, nous avions eu des signes avant-coureurs.

Cela semble faire quelques heureux…

Du coup, on vous laisse avec un sourire. Celui du professeur ayant parfaitement réalisé son travail.

Allez bisous, et à l’année prochaine !

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